Et un matin, tu t’éveilleras mais rien n’aurá changé
Tes actes, insatiables, seront toujours d’une parfaite futilité
Que tes mots, en cent éclats tremblants, porteront comme fardeau.
Et ni les murs, ni la pluie observe de ta fenêtre, n’y répondront
Tu resteras ainsi, condamné, impuissant… prisonnier de ton existence
Et les jours, eux-mêmes, deviendront de échos… et tes cris resteront sans réponse.
In case you needed motivation or something.
